Aventures sportives en Célica

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Aventures sportives en Célica

Messagede mb33 » 20 Nov 2011, 10:45

J'ai remarqué ( en toute humilité :mrgreen: ) que mes petites aventures avaient l'air de vous intéresser.

J'ouvre donc ce sujet pour vous relater mes sorties en Célica, sachant que celles ci sont en général à tendance sportive, mais à différents niveaux.

Pour éclaircir le sujet et peut être donner des idées à certains ( bien que certains pratiquent déjà, comme citron ) voici un petit résumé de monde des rallyes historiques, du plus simple au plus sportif.

Rallye découverte ( ou saucisson ou " à énigme " ) : petit groupe d'amis faisant parti d'un club ou non se réunissant en anciennes pour rouler grouper sans notion de temps, à la recherche d'indices culturels ou farfelus, pretexte surtout à rouler entre copains. Idéal pour débuter.

Rallye de navigation : Déjà une compétition à part entière, mais sans notion de vitesse ou très peu. Il s'agit d'une sorte de course d'orientation, mais en voiture. Les organisateurs rédigent un Road Book dans le but de perdre les concurrents qui doivent tout faire pour retrouver leur chemin. Discipline qui peut être agrémentée d'une notion de temps imparti par étape, ou même de régularité de moyenne à tenir tout le long du parcours. Application de pénalités en fonction du respect de l'itinéraire et du respect du temps.

Rallye de régularité : Ca se corse. Itinéraire au Road Book sans grande difficulté, mais avec une moyenne à tenir dans des " ZR " ( zone de régularité ) controlée à la seconde lors de contrôles secrets répartis le long du parcours. Avec, selon les épreuves, des moyennes plus ou moins hautes et plus ou moins difficile à tenir. Moyenne obligatoirement inférieure à 50km/h sur l'ensemble du parcours qui est sur route ouverte

VHRS : Régularité sportive. Un peu le même principe que ci dessus, mais sur route fermée et avec des moyennes pouvant être plus élevées.

VHC : Compétion de vitesse pure, avec des voitures homologuées FFSA.

A titre d'exemple, le rallye que j'organise à Bordeaux, Vignes et Virages, ou la Nuit des Longs Capots à Perpignan sont des épreuves de navigation. Le Rallye de Monte Carlo Historique est une épreuve de régularité.

J'espère avoir été clair et je passe donc à partir de maintenant aux résumés des épreuves, en reprenant là ou s'est arrêté le sujet sur le Monte Carlo, qui avait un peu dévié.
Il y aura du copié collé de résumé de ma part ou de la part de mes copilotes postés sur d'autres forum, mais j'espère que ça restera compréhensible.

Bonne lecture à tous en espérant que ça donnera envie à certains
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede mb33 » 20 Nov 2011, 10:52

12 novembre 2011 : Nuit du Vivarais

Exemple type de l'épreuve de régularité de haut niveau.

Départ de Montélimar le samedi à 15h pour finir à 2h du matin, en ayant parcouru 380km des routes ardéchoises en 350km de ZR, avec des moyennes élevées, jusqu'à 58km/h la où on aurait du mal à passer à 40 en voiture normale.
Plateau presque exclusif de voitures préparées rallyes et grosse baston.

Voici mon résumé et celui de mon copilote

Grace au jour férié, nous sommes parti de Bordeaux vendredi en fin de matinée, histoire d'être à une heure raisonnable à Montélimar et d'avoir une bonne nuit avant le rallye. Bon accueil et bonne chère à l'hôtel trouvé par les organisateurs, juste nous et un équipage Belge inconnu qui arrive vers 20h.
Pas très grave pour nous car nous venons sans autre ambition que de se faire plaisir et de faire découvrir une nouvelle discipline à mon copilote.
Ca va être une (re)découverte pour moi, absent dans le coin depuis le Drôme légend en 2006, et une première pour David, qui n'a jamais fait de régul pure, jamais tenu de cadenceur, jamais utilisé mon trip et qui n'est pas familiarisé avec les road book en littéraire. Ca fait beaucoup pour une seule épreuve.

Les vérifs techniques sont faites directement dans le parking de l'hôtel ( merci Aymé ) , ce qui nous permet de manger sur place avant le départ.

Petit tour des autres concurrents sur le parc, histoire de retrouver quelques têtes connues, sur d'autres épreuves ou via des forums.

Arrive 15h et le départ pour une journée annonçée marathon, confirmé par la lecture du RB. 380 km de parcours dont 350km en 5 ZR, dont la plus longue de 117 km . On se prépare de bons moments.

Un petit peu de tourisme au départ ( on traverse 3 fois le Rhone ??? C'est déjà le delta à Montelimar ) et on attaque l'Ardèche. Les paysages sont magnifique et les routes parfaites, sèches, beau temps à part le soleil dans les yeux ( vivement qu'il fasse nuit ) et pas trop de circulation.
On se familiarise avec le rb et les instruments et ça ne se passe pas trop mal. Les moyennes sont parfaitement ajustées aux routes, ni trop ni trop peu. On voit qu'on a affaire à des pros. Dès la fin de la première zr, la nuit tombe et les choses sérieuses commencent.
Le plus dur est de rester concentré beaucoup plus longtemps que d'habitude. Du coup, une petite frayeur quand la Célica ne veut pas tourner dans une épingle et que les rochers se rapprochent très vite, ce dont l'estomac de David aura du mal à se remettre jusqu'à la fin. Les 117km de la zr2 sont avalés sans trop de problème, à part quelques hésitations dans les changements de moyenne et dans la fonction rattrapage du trip, mais celle là, je laisse à David le soin de vous la raconter .
Dans une zone à moyenne basse ( 38 ) j'ai du rattraper un peu de retard du à une hésitation à un carrefour, avec pour conséquence la ligne d'échappement qui est restée par terre. La Toy était déjà bruyante, mais du coup, on se fait vraiment remarquer.
Entre chaque ZR, il y a une petite pause de 20mn nous permettant de faire le plein de descendre de la voiture. Après la dernière, nous repartons pour 44km avant la pause repas. Dès le départ, une très forte odeur d'essence envahi la voiture. Outre le fait que l'estomac de David n'est toujours pas au top, c'est quand même inquiètant. Tout en roulant, j'imagine d'où ça peut venir. Comme le moteur tourne bien, ce ne peut être qu'après les carbus. Comme ils sont à l'opposé de l'échappement, j'estime que le risque d'incendie est faible et on continue.
Sauf que .......................... la jauge descend à une vitesse impressionnante. A tel point que sur les 44km, la moitié du réservoir est vide, alors que l'on sait qu'il n'y aura plus de carburant avant la fin, soit encore 110km de zr
A l'arrivé à la pause, dans une grange remplie de voitures mais 2km après le trou du c.. du monde, je gare la voiture sous un projecteur pour chercher sous le capot la fuite. Rien Je vais à l'arrière de la voiture pour m'aperçevoir que toute l'aile arrière et le coffre sont recouvert d'essence. Je regarde le bouchon du réservoir et je vois que je l'avais tout simplement remis de travers et que toute l'essence partait par là Je préfère ça mais je me mettrai volontier des baffes
Je mendie 10l par sécurité à un concurrent et nous grignotons un morceau avant de repartir.
Au départ, Fred nous annonce que nous sommes 5ème, très bonne surprise pour nous.
Hélas, je ne sais pas si c'est la fatigue ou la déconcentration de s'être arrêté mais la dernière zr va nous faire mal. D'abord dans une série d'épingles où j'étais tellement content du bruit que je faisais que j'ai continué sur la route principale au lieu de filer tout droit sur une route que je n'ai même pas vu . En plus dans ces " autoroutes " ardéchoises, on a fait 2km avant de pouvoir faire demi tour, ce qui nous a fait perdre 2mn ( merci aux 2 voitures qui nous ont sportivement laisser passer ) Résultat, comme de bien entendu, un cr étant juste après, nous prenons 1 minute 30 dans la vue, que je m'applique à rattraper. 20km plus loin, une note disant de contourner une station essence nous trouble, vu que l'on ne la voit pas. Nous faisons demi tour pour s'aperçevoir que nous avions pris la bonne décision. Evidemment, encore 1.30 de passée et nous revoilà derrière la Golf, qui a vraiment dû nous prendre pour des blaireaux. Et toujours le cr juste derrière et de nouveau une valise de point. Je rattrape le retard et nous passons le dernier cr avec 3 seconde de retard, mais je me doute que notre position a changé, et pas en bien.

On déroule jusqu'à Montélimar pour arriver à 2h du mat à l'hôtel après une journée bien remplie.

Dodo jusqu'à 9h et nous chargeons la voiture pour préparer le départ. Passage à la salle et après vérification que nous ne sommes pas sur le podium , nous nous excusons auprès des organisateurs et nous prenons la route, histoire de rentrer un peu moins tard.

Nous finissons finalement 9ème, ce qui me satisfait puisque nous n'étions pas venu chercher un résultat, mais nous amuser.

Sur ce point, nous avons passé un super week end, en ayant apprécié chaque moment passé dans une très bonne ambiance, avec des organisateurs décontractés, qui n'ont pas le melon, ce qui ne les empèchent pas de faire un super boulot, sans erreurs .
Comme quoi, on peut faire une très belle épreuve en restant simple et accessible.

Un grand merci à David pour son courage, sa bonne humeur et ses résultats, et à tous ceux que l'on a croisé pendant cette épreuve, à laquelle je ferais tout pour être au départ de la prochaine.

David, mon copilote :

Petit CR sur cette sortie lointaine pour le Bordelais que je suis.

Vu que la Kadett n'était pas prête pour le GT2i et que Michel m'avait parlé de son envie de faire la Nuit du Vivarais, je lui ai proposé de le copiloter dans cette "aventure épique" (le mot est faible pour moi ...).
Cela commence déjà la semaine avant : rupture de la courroie d'alternateur/pompe à eau ... Il faut savoir que j'ai la poisse avec les autos de Michel quand je suis dedans : il y a toujours une cou**le qui arrive ! Mais là, vaut mieux que ça arrive maintenant (et ce n'est pas fini).

Nous partons le vendredi en fin de matinée avec le camion. J'ai d'ailleurs un peu de mal à croire qu'il y une Célica là dedans.

Ce n'est pas celui là, mais le même modèle :



Je vous jure que la Célica rentre dedans !!!
Sur la route, nous faisons halte à Toulouse pour déguster une excellente et véritable fondue Coréène : c'est fantastique ce truc !

Nous arrivons vers 19h00 à Montélimar. Durant le repas, nous voyons une superbe Ascona i2000 arrivée, celle de José Lareppe. Michel me dit : "on peut lui donner de suite la coupe du vainqueur ..." Tant pis, on sera que 2° !"



Couché de bonne heure, j'ai du mal à m'endormir. Je me mets tout seul la pression : Michel a l'habitude des podiums, et c'est une 1° pour moi. 1° avec Michel, 1° avec cette Célica, 1° en régul pure, 1° avec un cadenseur (je ne savais même pas à quoi cela ressembler une semaine avant !).

Après une petit déjeuner vite englouti, nous descendons l'auto pour aller y passer un coup de nettoyage, acheter des nougats et faire le plein. Au retour, nous rencontrons Titou84 venu chercher un pont que Michel lui a monté. Les discussions vont bon train sur les Célica. Je suis un peu perdu : sorti des Opel ... Mais très vite, je reprend "vie" : une superbe Manta A SR pointe son nez à l'hôtel :



Les organisateurs arrivent par la suite : vérifs techniques, administratives faites, nous partons sur la zone d'étalonnage qui ne sera que petite formalité. Michel m'explique le fonctionnement du trip avec les possibilités de rattrapages en cours de ZR. Je ne pipe absolument rien de ce qu'il m'explique. On verra sur le tas !

L'heure du repas arrive vite : une bonne tablée de copains qui discutent de ... je vous laisse deviner. Cependant, je mange entre 2 feuilles de calculs. Il y a plus de 25 changements de moyenne sur l'ensemble du rallye ! Le cadenseur n'en mémorisant que 10, je me fais un découpage et recalcule plein d'intermédiaire. Je prend même le temps de calculer les heures de passages idéales à chaque changement de moyenne, et heureusement.



15h18 : le départ est donné. Nous serons en "auto-start" tout le long de ce rallye marathon : 400 kms de ZR. La sortie de ville est plutôt laborieuse, mais le retard est vite rattrapé par la suite, nous arriverons à l'heure juste pour le départ de la 1° ZR contrôlée. D'entrée, le rythme est donné. Une grosse moyenne pour des petites routes de montagnes. Je surpris par la vitesse que Michel est obligé de soutenir sous peine de prendre du retard. Je ne suis pas fier dans la Célica et en plus une épingle est passée limite ce qui me refroidi. J'ai l'estomac en vrac mais je prend sur moi et j’essaie de tenir mon rôle de navigo du mieux possible. Les changements de moyennes s'enchainent (8 pour cette 1° étape avant une pause de 20 minutes). Nous serons globalement dans les temps avec peu de pénalités : le métier commence à rentrer.

Nous repartons pour une nouvelle ZR avec un rythme tout aussi soutenu. Je commence à comprendre certains mécanismes, notamment l'intérêt du trip à pouvoir se "recaler" sur le road-book en rajoutant ou enlevant des mètres. Il m'en manquera quelques-uns vu que Michel coupe pas mal les virages en épingles. Mais je commence à faire une 1° boulette : un changement de moyenne trop vite fait sur le cadenseur et il reste encore beaucoup de kilomètre avant la prochaine pause. J'essaie de revenir en arrière mais impossible. Une chose limitera les dégâts : mon calcul de passage théorique. Sur les longs intermédiaires, je refais quelques calculs théoriques qui nous sauverons la mise puisque nous seront pas mal du tout au final.

La 2° pause arrive avec passage à la pompe. Nous repartons à l'heure idéale. Une odeur d'essence envahit la Célica. Nous ne nous alarmons pas, nous venons de faire le plein. Mais je n'étais déjà pas au top niveau estomac, cela a finit de m'achever avec toutes ses odeurs qui empirent. En plus, Michel me montre la jauge : elle descend à vu d’œil ! Il y a un souci mais on y va qu'en même, Michel s'éclate au volant. Et je refais encore une boulette : perdu dans des calculs et habitué à avoir des partiels de 5 à 10 km, je zappe un partiel de 1 km avec un changement de moyenne. Je m’aperçois vite de l'erreur et nous ne perdons qu'une poignée de seconde. Confiant, j'indique la nouvelle moyenne de 38 km:h : "ça va être vite rattrapé !" Les premiers mètres de cette nouvelle zone me contrediront vite fait : une route étroite, pleines de bosses, et de virages serrés. Michel cravache la Célica qui "saute" de bosses en bosses qui arracherons une partie de l'échappement ... Mais nous arriverons avec un bon timing à la pause repas bienvenue.

Nous faisons de suite le tour de l'auto pour voir le problème d’essence et échappement. Michel a fait aussi sa boulette en refermant mal le bouchon d'essence ! L'échappement est bien bas mais on peut continuer. Il fait froid et la tension se relâche après 6h00 intenses. Nous aurons du mal à nous remettre dans le rythme (pause trop longue ??). Fred, l'organisateur sur le départ, nous annonce que nous pointons à la 5° place ! Je suis surpris et plutôt content : il y a du beau monde d'après ce qu'on m'a dit.

Le rythme est encore une fois d'entrée très soutenu même limite : je me disais en moi-même que si c'est comme ça sur tout cette dernière étape, je ne tiendrais pas. Le 2° changement de moyenne sera moins rapide. Mais encore une fois dans mes calculs, Michel prit dans une série d'épingle continue dans sa lancée en prenant une épingle droite de trop. Au même moment je lève la tête et voit une route en contre bas à gauche avec l'indication de notre route. Trop tard, et nous mettrons plus de 1 minute pour faire demi-tour sur ces routes étroites. Quand nous rattrapons la bonne route, la BMW n°6 (nous avons le 4) nous passe sous le nez. Nous la collons au cul et dès qu'il peut, il nous laisse passer (super sport, merci). Nous rattrapons la Golf n°5 qui s'écarte aussitôt également. Mais le mal est fait, nous avons passer déjà un CH avec 1m50 de retard. Nos espoirs s'envolent. Michel me rattrape tout le retard. Quelques kilomètres plus loin, nous refaisons encore une erreur de navigation avec une histoire de station service ... 1 minute de perdue puisque la Golf repasse devant et nous laisse encore passer (merci encore!). Là encore, pas de bol, un CH n'est pas loin et c'est 1m30 de perdue. Je suis complétement décalé, j'ai du mal à me remettre dans le bon truc et j'ai en plus une erreur de calcul sur mes temps de passage théoriques. J'arrive tant bien que mal à me recaler. Les pénalités de la fin d'étapes me diront que j'ai à peu près limité la casse vu que nous ne prenons pas trop de points sur la dernière partie de cette étape longue de 200 km.

La nuit de sommeil sera la bienvenue. Nous repartirons le matin de bonne heure (route oblige) en zappant la remise des prix en nous excusant auprès de l'organisation qui comprend. Nous serons finalement 9°, ce qui est un moindre mal aux vues des boulettes.

Le résultat est honorable et essentiellement dû à Michel : il est d'un calme olympien en toutes circonstances, même quand ça envoie lourd. Je ne l'ai entendu qu'une seule fois hausser la voix contre les chasseurs qui venaient en sens inverse ! De plus, c'est un véritable métronome : tu lui dis 48 km/h, il te fais 48 km/h et pas 48,5 km/h ! Il m'a fait des portion de kilomètres entiers (avec des virages) sans avoir à donner aucune correction de métrage. C'est bluffant.

Merci à toi en tout cas pour ce super week-end. Je ne te dis pas qu'on recommencera de type d'épreuve car ce n'est pas mon truc, mais par contre, pourquoi pas l'année prochaine avec chacun son auto ! Et un grand merci aux G.O. de Drôme Auto Passion pour leur accueil et leur organisation au top.
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede carbone » 20 Nov 2011, 11:11

très simpa de nous relater tes aventures. :mrgreen:
c'est une très bonne idée et très intéressante. 8-)
si je peux me permettre,tu pourrais également agrémenter de quelque photos... :P
Félicitations pour cette initiative,je vais les suivre avec attentions.
:mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
Le pain n'est jamais dur,pas de pain,ça c'est dur!
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Trouvé: pont AE86 (un grand merci à octave de AE86GTImage)
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Trouvé: traverse moteur TA60 pour moteur 2TB (un grand merci à laurent Image)
Trouvé: plaque de console + autoradio TA23 (un grand merci à CELICAHOLIC Image)
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede emiliencasse44 » 20 Nov 2011, 14:49

MB33, le Pierre BELLEMARE de celica.fr ... intéressant, belle écriture, en 2 mots, TRES BON !
:D :D
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede Toin » 20 Nov 2011, 15:01

On s'y croirait ! Très sympa ! Je comprends pas toutes les subtilités de la régularité mais si tu continues je m'y ferais sûrement :D
Recherche "banane" en plastique qui fait le coin droit de pare-choc arrière de ta40 phase 2
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede mb33 » 20 Nov 2011, 18:19

emiliencasse44 a écrit:MB33, le Pierre BELLEMARE de celica.fr ... intéressant, belle écriture, en 2 mots, TRES BON !
:D :D



Merci, mais pas si vieux quand même :lol:

J'ai mes dossiers photos au bureau, je'en mettrai quelques unes
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede mb33 » 20 Nov 2011, 18:26

Toin a écrit:On s'y croirait ! Très sympa ! Je comprends pas toutes les subtilités de la régularité mais si tu continues je m'y ferais sûrement :D


La régularité, c'est ce qu'il y a de plus simple. C'est d'ailleurs l'origine des rallyes automobiles, jusque dans les années 60-70.

L'organisateur fixe une moyenne imposée que les concurrents doivent essayer de tenir tout au long d'un parcours donné. Tout écart est sanctionné par des points de pénalité. Le vainqueur est celui qui a le moins de points à l'arrivé.

Très facile, en théorie seulement. Durant la nuit du Vivarais, nous avions des ZR ( zone de régularité ) jusqu'à 117km pour la plus longue. Durant cette ZR, il y a eu 4 changements de moyenne, allant de 38km/h à 58 km/h. Le copilote doit donc calculer en permanence l'heure exacte à laquelle nous devons passer à n'importe quel endroit, vu que les contrôles sont secrets, et que l'on est contrôlé à la seconde.

Imaginez la concentration pendant 2 heures et demi. En général, pour être dans les 5 premiers, il ne faut jamais être à plus de 3 secondes d'écart par rapport au temps idéal. Et ceci bien évidemment sur des routes tortueuses et où la moyenne est proche de la limite possible.

Bref, on ne s'ennuie pas une seconde( :mrgreen: c'est le cas de le dire )

Et au Monte Carlo, c'est au 1/10 de seconde que l'on est chronométré. Et on arrive à passer en dessous de la seconde fréquemment. Et sur la neige en plus :shock:
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede mb33 » 21 Nov 2011, 10:11

Quelques photos pour égayer tout ça

Mon nouveau camion pour transporter la Célica (sisi, ça rentre )

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Préparation studieuse de mon copilote pendant que certains s'empriffrent ( dont une certaine personne du forum )

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Départ vers le parc

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Sur le parc, prêt au départ

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Besoin d'un bon éclairage pour la nuit

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Enfin le départ, c'est souvent le meilleur moment

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2 autres japonaises au départ, dont une Toy immatriculée en Suisse

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Et une très belle Datsun, au couleur d'un autre membre du forum

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Une petite idée du matériel embarqué pour copilote expérimenté

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Perso, je trouve que ça fait un peut trop, j'ai plus simple
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede ray moulad » 22 Nov 2011, 10:24

Super sympa tes résumés. Bien aussi le 1er post, tres clair !
Ça fait longtemps que je veux m'y mettre...la Supra est un peu "jeune" encore mais pour certaine épreuves ça passe...
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Re: Aventures sportives en Célica

Messagede Toin » 22 Nov 2011, 13:46

Merci des précisions !
Mais je comprends pas très bien comment ça se passe sur routes ouvertes : tu dois respecter les limitations et subir les voitures normales ?
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